Après les grêlons… État de situation
14.11.2023 Je serai aujourd’hui dans le suivi de l’annonce prophétique « avis de grêle » entamé ce printemps. Ce sera le troisième blog dédié à cette prédiction qui m’a été relayée par une mère de famille de l’Oberland bernois.
- Blog d’avril 2023 « Grêle en vue »
https://www.alliance-ch.ch/[...]/grele-en-vue-1106.html
- Blog d’août 2023 « De sacrés grêlons, comme annoncé »
https://www.alliance-ch.ch/[...]/de-sacres-grelons-comme-annonce-1110.html
Initialement, je me suis préparé à assister à des grêlées toujours plus fortes, des phénomènes météorologiques spectaculaires et inhabituels. Ceux-ci ont été documentés ce printemps. Plus d’un lecteur m’a interpellé avec des questions, que je partageais et auxquelles je n’avais pas vraiment de réponse. Je vous cite un courriel parmi d’autres : « La petite Sara a dit que les “gros grêlons”/“de très forts orages ” arriveraient suite à son anniversaire. Elle a encore déclaré : “ Le bois entreposé devant la maison s’écroule et le béton s’effondre aussi ”. Un tas de bois qui s’écroule, d’accord. Mais le béton ? As-tu une explication ? C’est un matériau très solide ! »
Lors de notre retraite avec le conseil d'administration d'Alliance-CH, nous avons considéré cette parole prophétique qui ne laissait personne indifférent. Certains s’accordaient pour y voir une annonce de la destruction de nos réserves d’énergie (le bois) et même de nos possessions matérielles plus durables (le bâti). Ou des faillites, d’abord des petites structures types PME (le bois) puis des grandes entreprises et mêmes des multinationales (le béton), au fond, tout ce que nous pensons à l’abri et intouchable du fait de leur apparente solidité. Mais attention à ce qui est fait de main d’homme ! L’Église – dans le sens : tout ce qui y est constructions humaines, « bâties sur le sable » – est directement concernée selon moi et ne tiendra pas le choc. Voilà un reflet honnête de nos discussions pour tenter de comprendre. Un élément ne faisait cependant aucun débat parmi nous : l’imminence.
Restait la date anniversaire de la fillette.
Passé cette date, à l’été, j'y repensais de temps à autres sans m’inquiéter plus que ça de voir venir le bouleversement annoncé. J'ai eu (et cela continue) beaucoup de rencontres de conseils financiers et autres. Deux mois se sont écoulés entre le neuvième anniversaire de Sara et le déclenchement, il y a un mois, de la guerre en Israël avec l’actualité que tout le monde connaît. Et voilà, depuis le 7 octobre, les images tournent en boucle, sur nos téléviseurs et nos smartphones, d’immeubles éventrés, de décombres et de béton éclaté en morceaux. Est-ce là un nouveau signe d’accomplissement ? D’autres personnes de mon cercle de connaissances se sont imaginé que les gros grêlons qui «tomberaient ensuite» du ciel désignaient des roquettes et des missiles.
À l’heure de rédiger ce blog, un sentiment ne me lâche plus : la montre tourne ! Nous sommes beaucoup plus près des grands problèmes qui secoueront ce monde par toutes sortes de catastrophes que nous ne pouvons imaginer ou ne voulons nous avouer.
La guerre en Israël est source de tensions sur les marchés mondiaux. Le monde entier redoute un choc économique en cas d’extension du conflit et – cela ne surprendra personne, en tout cas pas les lecteurs de ce blog – l’or monte en bourse . Tout est lié et interdépendant dans le système mondial ; le Seigneur peut appuyer n’importe où sur la «tour de Kapla» au jour où il l’aura décidé, avec une seule issue prévisible : l’écroulement économique et financier et même la famine. Parmi tous les déclencheurs possibles, la guerre est certainement le plus terrible… De ce fait, je répète et répéterai encore : préparons-nous.
J’ai terminé le blog du mois d’août avec les mots suivants que je reproduis ci-dessous :
- Les difficultés actuelles ne sont que le début des « problèmes ». Oui, il y a encore du plus « lourd » devant nous - et pour tout bientôt
- Oui, nous devons sortir de l'inconscience et de l’insouciance
- Nous avons peut-être peur d’être dépouillés de notre confort et de fausses sécurités matérielles, certes, mais non, nous ne devons pas avoir peur pour nos âmes, encore moins paniquer
- Oui, Dieu est avec nous. Rapprochons-nous urgemment de lui. Centrons-nous sur l’essentiel. Rejetons tout ce qui est superficiel et hédoniste
- Oui, nous devrions faire ce que nous pouvons encore faire pour nous préparer et Dieu fera le reste. Mais seulement ensuite !
Je termine ce blog en vous faisant part de nouveaux préparatifs dans lesquels je suis impliqué directement ou non – cela pour vous encourager et stimuler vos idées et votre imagination, s’il en est besoin.
Un homme nous a contacté pour acquérir vingt-sept tonnes de blé. Vous avez bien lu la quantité. Je voulais moi aussi en être bien sûr et j’ai vérifié auprès de lui. Cet homme, béni soit-il, avait calculé, sur la base des indications dans mon livre Économie de crise - Comment se préparer et s’entraider, que c’était le volume nécessaire aux besoins des habitants de toute sa commune. Je suis vraiment impressionné !
Je vous annonce d’ores et déjà que nous travaillons sur un nouveau livre, plus court que les précédents, qui traitera en détail du blé panifiable. Je suis en piste avec Beatus Müller, dont j’ai déjà parlé dans le livre «Économie de crise» et un autre spécialiste, meilleur boulanger de Suisse 2022.
Un coopérateur d’Alliance-CH m’a sollicité cet été pour vendre un bien immobilier dans les Franches Montagnes. J’ai effectivement recommandé, dans l’ouvrage « Économie de crise » de vendre plutôt que d’acheter dans la situation actuelle des prix surfaits dans le domaine immobilier. Or un pressentiment m’a poussé à laisser le dossier au fond d’un tiroir. Début novembre, lorsque j’ai revu ce coopérateur, un ami précieux, je lui ai fait part de la résistance qui m’habitait. « C'est ce que nous ressentons aussi, mon épouse et moi. Nous allons donc garder la maison », m’a-t-il annoncé. La raison ? La montée folle de l’antisémitisme en Europe. « Nous pensons qu’elle pourra accueillir des réfugiés si les choses tournent mal. On peut y loger, en cas de besoin urgent, jusqu’à une centaine de personnes et surtout, elle est stratégiquement placée, tout près de la frontière française… » Ce coopérateur n’avait pas besoin de m’en dire plus. Ce témoignage illustre le fait que Dieu a toujours le dernier mot. Il ne suffit pas d’appliquer des principes, mêmes sages et bien intentionnés, même ceux d’Alliance-CH, mais de vérifier auprès du Maître s’il agrée et quels sont ses plans à lui.
Au nom de la coopérative Alliance-CH, nous vous souhaitons la paix du ciel et une écoute renouvelée, afin d’être pleinement en partenariat avec notre Dieu merveilleux et en bénédiction pour notre entourage.
- Blog d’avril 2023 « Grêle en vue »
https://www.alliance-ch.ch/[...]/grele-en-vue-1106.html
- Blog d’août 2023 « De sacrés grêlons, comme annoncé »
https://www.alliance-ch.ch/[...]/de-sacres-grelons-comme-annonce-1110.html
Initialement, je me suis préparé à assister à des grêlées toujours plus fortes, des phénomènes météorologiques spectaculaires et inhabituels. Ceux-ci ont été documentés ce printemps. Plus d’un lecteur m’a interpellé avec des questions, que je partageais et auxquelles je n’avais pas vraiment de réponse. Je vous cite un courriel parmi d’autres : « La petite Sara a dit que les “gros grêlons”/“de très forts orages ” arriveraient suite à son anniversaire. Elle a encore déclaré : “ Le bois entreposé devant la maison s’écroule et le béton s’effondre aussi ”. Un tas de bois qui s’écroule, d’accord. Mais le béton ? As-tu une explication ? C’est un matériau très solide ! »
Lors de notre retraite avec le conseil d'administration d'Alliance-CH, nous avons considéré cette parole prophétique qui ne laissait personne indifférent. Certains s’accordaient pour y voir une annonce de la destruction de nos réserves d’énergie (le bois) et même de nos possessions matérielles plus durables (le bâti). Ou des faillites, d’abord des petites structures types PME (le bois) puis des grandes entreprises et mêmes des multinationales (le béton), au fond, tout ce que nous pensons à l’abri et intouchable du fait de leur apparente solidité. Mais attention à ce qui est fait de main d’homme ! L’Église – dans le sens : tout ce qui y est constructions humaines, « bâties sur le sable » – est directement concernée selon moi et ne tiendra pas le choc. Voilà un reflet honnête de nos discussions pour tenter de comprendre. Un élément ne faisait cependant aucun débat parmi nous : l’imminence.
Restait la date anniversaire de la fillette.
Passé cette date, à l’été, j'y repensais de temps à autres sans m’inquiéter plus que ça de voir venir le bouleversement annoncé. J'ai eu (et cela continue) beaucoup de rencontres de conseils financiers et autres. Deux mois se sont écoulés entre le neuvième anniversaire de Sara et le déclenchement, il y a un mois, de la guerre en Israël avec l’actualité que tout le monde connaît. Et voilà, depuis le 7 octobre, les images tournent en boucle, sur nos téléviseurs et nos smartphones, d’immeubles éventrés, de décombres et de béton éclaté en morceaux. Est-ce là un nouveau signe d’accomplissement ? D’autres personnes de mon cercle de connaissances se sont imaginé que les gros grêlons qui «tomberaient ensuite» du ciel désignaient des roquettes et des missiles.
À l’heure de rédiger ce blog, un sentiment ne me lâche plus : la montre tourne ! Nous sommes beaucoup plus près des grands problèmes qui secoueront ce monde par toutes sortes de catastrophes que nous ne pouvons imaginer ou ne voulons nous avouer.
La guerre en Israël est source de tensions sur les marchés mondiaux. Le monde entier redoute un choc économique en cas d’extension du conflit et – cela ne surprendra personne, en tout cas pas les lecteurs de ce blog – l’or monte en bourse . Tout est lié et interdépendant dans le système mondial ; le Seigneur peut appuyer n’importe où sur la «tour de Kapla» au jour où il l’aura décidé, avec une seule issue prévisible : l’écroulement économique et financier et même la famine. Parmi tous les déclencheurs possibles, la guerre est certainement le plus terrible… De ce fait, je répète et répéterai encore : préparons-nous.
J’ai terminé le blog du mois d’août avec les mots suivants que je reproduis ci-dessous :
- Les difficultés actuelles ne sont que le début des « problèmes ». Oui, il y a encore du plus « lourd » devant nous - et pour tout bientôt
- Oui, nous devons sortir de l'inconscience et de l’insouciance
- Nous avons peut-être peur d’être dépouillés de notre confort et de fausses sécurités matérielles, certes, mais non, nous ne devons pas avoir peur pour nos âmes, encore moins paniquer
- Oui, Dieu est avec nous. Rapprochons-nous urgemment de lui. Centrons-nous sur l’essentiel. Rejetons tout ce qui est superficiel et hédoniste
- Oui, nous devrions faire ce que nous pouvons encore faire pour nous préparer et Dieu fera le reste. Mais seulement ensuite !
Je termine ce blog en vous faisant part de nouveaux préparatifs dans lesquels je suis impliqué directement ou non – cela pour vous encourager et stimuler vos idées et votre imagination, s’il en est besoin.
Un homme nous a contacté pour acquérir vingt-sept tonnes de blé. Vous avez bien lu la quantité. Je voulais moi aussi en être bien sûr et j’ai vérifié auprès de lui. Cet homme, béni soit-il, avait calculé, sur la base des indications dans mon livre Économie de crise - Comment se préparer et s’entraider, que c’était le volume nécessaire aux besoins des habitants de toute sa commune. Je suis vraiment impressionné !
Je vous annonce d’ores et déjà que nous travaillons sur un nouveau livre, plus court que les précédents, qui traitera en détail du blé panifiable. Je suis en piste avec Beatus Müller, dont j’ai déjà parlé dans le livre «Économie de crise» et un autre spécialiste, meilleur boulanger de Suisse 2022.
Un coopérateur d’Alliance-CH m’a sollicité cet été pour vendre un bien immobilier dans les Franches Montagnes. J’ai effectivement recommandé, dans l’ouvrage « Économie de crise » de vendre plutôt que d’acheter dans la situation actuelle des prix surfaits dans le domaine immobilier. Or un pressentiment m’a poussé à laisser le dossier au fond d’un tiroir. Début novembre, lorsque j’ai revu ce coopérateur, un ami précieux, je lui ai fait part de la résistance qui m’habitait. « C'est ce que nous ressentons aussi, mon épouse et moi. Nous allons donc garder la maison », m’a-t-il annoncé. La raison ? La montée folle de l’antisémitisme en Europe. « Nous pensons qu’elle pourra accueillir des réfugiés si les choses tournent mal. On peut y loger, en cas de besoin urgent, jusqu’à une centaine de personnes et surtout, elle est stratégiquement placée, tout près de la frontière française… » Ce coopérateur n’avait pas besoin de m’en dire plus. Ce témoignage illustre le fait que Dieu a toujours le dernier mot. Il ne suffit pas d’appliquer des principes, mêmes sages et bien intentionnés, même ceux d’Alliance-CH, mais de vérifier auprès du Maître s’il agrée et quels sont ses plans à lui.
Au nom de la coopérative Alliance-CH, nous vous souhaitons la paix du ciel et une écoute renouvelée, afin d’être pleinement en partenariat avec notre Dieu merveilleux et en bénédiction pour notre entourage.