Rien de nouveau sous le soleil
24.01.2022 Le feu d’artifice de la bourse est maintenu par de massifs injections de monnaie sans contre-valeur. Actuellement (janvier 2022) la BCE (Banque Centrale Européenne) « imprime » 5,7 milliards d’Euro chaque jour. Je mets le mot imprimer volontairement entre parenthèse, car en réalité il n’y a pas d’impression. L’argent virtuel (fiat money) n’a pas besoin de papier, un ordinateur suffit pour cette production ex nihilo (venant du néant). J’ai déjà expliqué à x-reprises ce que cela veut dire : perte intrinsèque de la monnaie en circulation, danger d’une inflation importante pouvant même aboutir à une hyper-inflation etc. J’explique cela en détail dans mon livre « La crise – que faire ?» que je recommande vivement à tous ceux qui ne l’ont pas encore lu. Vous le trouvez ici https://www.alliance-ch.ch/[...]/boutique.html
Un article intéressant
Peut-être connaissez-vous l’économiste Charles Sanna. Vous le trouverez sous https://insolentiae.com/
Dans une des dernières éditions il écrit :
La semaine dernière j’évoquais la possibilité d’une fin de crise sanitaire qui aurait pour conséquence l’augmentation du risque de crise financière. Une crise financière n’est pas forcément la fin du monde. Les marchés peuvent perdre 50 % sans que le commun des mortels ne se sente particulièrement ruiné en France, surtout s’il ne détient aucune action (1) et ne possède pas de PEA. Les obligations peuvent nous faire un aimable krach, sans que cela n’entraîne des pénuries dans votre supermarché.
Enfin, l’immobilier (2) peut aussi baisser sans que cela n’émeuve particulièrement les citoyens de ce pays qui pourraient se loger pour moins cher. Ce que je veux vous dire ici, c’est que lorsque je vous parle de la crise financière qui arrive, je suis à peu près convaincu que nous aurons à y faire face en 2022 où elle devrait commencer et peut-être encore en 2023.
Si je suis certain que nous allons affronter une crise financière, je ne peux pas vous dire quelle en sera la gravité (3). Nous pouvons raisonnablement penser que les autorités monétaires et politiques, sauf accident toujours possible, préfèreront rattraper la situation en injectant autant que nécessaire de monnaie (4), plutôt que de prendre le risque d’un effondrement global, généralisé et systémique. Si cette hypothèse se révèle juste, alors il faut se préparer à une crise financière qui ne sera pas LA dernière crise mais juste une crise parmi d’autres (5). Cela implique que ce ne sera pas la fin du monde.
Si ce n’est pas la fin du monde, alors les affaires reprendront après, et surtout cette crise sera une opportunité pour vous, pour racheter des actifs bradés ou en nette baisse (6). Il convient donc de se préparer professionnellement et en termes de ressources, mais aussi également en tant qu’épargnant, en prenant les meilleures décisions.
Pour être claire, Charles Sanna est pour moi sans aucun doute un économiste compétent. J’adhère à la majorité de ses conclusions. Dans le texte ci-dessus j’aimerais relever 5 points où j’ai quelque peu une autre vue et un sixième auquel j’adhère parfaitement. Le premier point parle d’un effondrement massif (il parle de 50%) du marché des actions, obligations etc. Oui, celui qui n’est pas impliqué dans le jeu du « casino mondial » n’y perdra effectivement rien. En revanche, les assurances-vie, caisse de retraites etc. y perdront beaucoup et avec elles tous ceux qui espèrent un jour toucher leur rente…donc nous tous ! Le point 2 parle de l’immobilier et le soi-disant peu de risque pour le commun de mortel. Le hic ici est qu’un effondrement des prix de l’immobilier entrainera un très grave problème pour tous ceux qui auront une dette hypothécaire trop importante sur leur maison ou appartement. Je parle de ce danger dans mon livre cité plus haut dans la rubrique Immobilier – ce qu’il faut savoir. Le point 3 concerne la gravité de la crise à venir. Personnellement, je pense que nous serons confrontés à une très grave crise – l’avenir nous le dira. La pensée qu’avec une injection sans limite de monnaie (sans aucune contre-valeur) pour rattraper la situation, comme mentionné sous point 4, est pour moi illusoire. Un moment donné il n’y aura plus de rattrapage possible. Je suis étonné de la conclusion juste une crise parmi d’autres selon le point 5. Ce ne sera à mon humble avis pas une crise comme les autres, là également l’avenir nous le dira. Le point 6 cependant est une stratégie intéressante : l’achat d’actifs bradés ou en nette baisse, dû à une crise profonde, a toujours été une bonne affaire. Ceux qui sont sorties à temps, donc avant le 24 octobre 1929 (la Grande Dépression) de la vague folle de spéculation à Wall Street (tout le monde spéculait !) ont ensuite rencontré des opportunités inimaginables pour acquérir de vrais biens : des usines, des terres, des sociétés etc. La famille Kennedy en faisait partie.
Qu’est-ce que cela veut concrètement dire pour nous ?
1. Sortir son épargne du système bancaire
2. Sortir du casino mondial (bourse)
3. Se désendetter là où c’est approprié resp. nécessaire (par ex. trop de dette sur son bien immobilier)
4. Mettre « ses billes » à l’abri (donc placer dans de vraies valeurs) et laisser venir. Les vraies valeurs sont expliquées dans mon livre « La crise – que faire ? ». Elles appartiennent sans exception aux valeurs faisant partie du Royaume de Dieu et ont survécu toute crise. Nous pouvons vous conseiller !
Enfin un séminaire finances bibliques
Beaucoup de nos lecteurs et coopérateurs ont demandé « Pour quand le prochain séminaire finances ? ». Je prépare un séminaire de 4 jours à Wengen (Oberland bernois, Suisse), magnifique petit village au pied des célèbres montagnes Eiger, Mönch et Jungfrau. Wengen est mondialement connu pour la descente (de ski) du Lauberhorn. Cette conférence vous permettra de poser TOUTES LES QUESTIONS qui vous travaillent et aura lieu du jeudi 9 au dimanche 12 juin 2022. Des promenades dans la bonne ambiance dans un environnement époustouflant seront programmées. Places limitées à env. 25 personnes. Des détails seront communiqués dès que possible. Avis aux amateurs !
Un article intéressant
Peut-être connaissez-vous l’économiste Charles Sanna. Vous le trouverez sous https://insolentiae.com/
Dans une des dernières éditions il écrit :
La semaine dernière j’évoquais la possibilité d’une fin de crise sanitaire qui aurait pour conséquence l’augmentation du risque de crise financière. Une crise financière n’est pas forcément la fin du monde. Les marchés peuvent perdre 50 % sans que le commun des mortels ne se sente particulièrement ruiné en France, surtout s’il ne détient aucune action (1) et ne possède pas de PEA. Les obligations peuvent nous faire un aimable krach, sans que cela n’entraîne des pénuries dans votre supermarché.
Enfin, l’immobilier (2) peut aussi baisser sans que cela n’émeuve particulièrement les citoyens de ce pays qui pourraient se loger pour moins cher. Ce que je veux vous dire ici, c’est que lorsque je vous parle de la crise financière qui arrive, je suis à peu près convaincu que nous aurons à y faire face en 2022 où elle devrait commencer et peut-être encore en 2023.
Si je suis certain que nous allons affronter une crise financière, je ne peux pas vous dire quelle en sera la gravité (3). Nous pouvons raisonnablement penser que les autorités monétaires et politiques, sauf accident toujours possible, préfèreront rattraper la situation en injectant autant que nécessaire de monnaie (4), plutôt que de prendre le risque d’un effondrement global, généralisé et systémique. Si cette hypothèse se révèle juste, alors il faut se préparer à une crise financière qui ne sera pas LA dernière crise mais juste une crise parmi d’autres (5). Cela implique que ce ne sera pas la fin du monde.
Si ce n’est pas la fin du monde, alors les affaires reprendront après, et surtout cette crise sera une opportunité pour vous, pour racheter des actifs bradés ou en nette baisse (6). Il convient donc de se préparer professionnellement et en termes de ressources, mais aussi également en tant qu’épargnant, en prenant les meilleures décisions.
Pour être claire, Charles Sanna est pour moi sans aucun doute un économiste compétent. J’adhère à la majorité de ses conclusions. Dans le texte ci-dessus j’aimerais relever 5 points où j’ai quelque peu une autre vue et un sixième auquel j’adhère parfaitement. Le premier point parle d’un effondrement massif (il parle de 50%) du marché des actions, obligations etc. Oui, celui qui n’est pas impliqué dans le jeu du « casino mondial » n’y perdra effectivement rien. En revanche, les assurances-vie, caisse de retraites etc. y perdront beaucoup et avec elles tous ceux qui espèrent un jour toucher leur rente…donc nous tous ! Le point 2 parle de l’immobilier et le soi-disant peu de risque pour le commun de mortel. Le hic ici est qu’un effondrement des prix de l’immobilier entrainera un très grave problème pour tous ceux qui auront une dette hypothécaire trop importante sur leur maison ou appartement. Je parle de ce danger dans mon livre cité plus haut dans la rubrique Immobilier – ce qu’il faut savoir. Le point 3 concerne la gravité de la crise à venir. Personnellement, je pense que nous serons confrontés à une très grave crise – l’avenir nous le dira. La pensée qu’avec une injection sans limite de monnaie (sans aucune contre-valeur) pour rattraper la situation, comme mentionné sous point 4, est pour moi illusoire. Un moment donné il n’y aura plus de rattrapage possible. Je suis étonné de la conclusion juste une crise parmi d’autres selon le point 5. Ce ne sera à mon humble avis pas une crise comme les autres, là également l’avenir nous le dira. Le point 6 cependant est une stratégie intéressante : l’achat d’actifs bradés ou en nette baisse, dû à une crise profonde, a toujours été une bonne affaire. Ceux qui sont sorties à temps, donc avant le 24 octobre 1929 (la Grande Dépression) de la vague folle de spéculation à Wall Street (tout le monde spéculait !) ont ensuite rencontré des opportunités inimaginables pour acquérir de vrais biens : des usines, des terres, des sociétés etc. La famille Kennedy en faisait partie.
Qu’est-ce que cela veut concrètement dire pour nous ?
1. Sortir son épargne du système bancaire
2. Sortir du casino mondial (bourse)
3. Se désendetter là où c’est approprié resp. nécessaire (par ex. trop de dette sur son bien immobilier)
4. Mettre « ses billes » à l’abri (donc placer dans de vraies valeurs) et laisser venir. Les vraies valeurs sont expliquées dans mon livre « La crise – que faire ? ». Elles appartiennent sans exception aux valeurs faisant partie du Royaume de Dieu et ont survécu toute crise. Nous pouvons vous conseiller !
Enfin un séminaire finances bibliques
Beaucoup de nos lecteurs et coopérateurs ont demandé « Pour quand le prochain séminaire finances ? ». Je prépare un séminaire de 4 jours à Wengen (Oberland bernois, Suisse), magnifique petit village au pied des célèbres montagnes Eiger, Mönch et Jungfrau. Wengen est mondialement connu pour la descente (de ski) du Lauberhorn. Cette conférence vous permettra de poser TOUTES LES QUESTIONS qui vous travaillent et aura lieu du jeudi 9 au dimanche 12 juin 2022. Des promenades dans la bonne ambiance dans un environnement époustouflant seront programmées. Places limitées à env. 25 personnes. Des détails seront communiqués dès que possible. Avis aux amateurs !